Comme c’est facile d’utiliser notre pourriture pour créer pour donner l’impression d’être. Comme tout cela est faux. Partiel, temporaire, impermanent. Uniquement tristesse ou dégoût. Là encore.
Alors quoi ? Silence ? Cadavre en charogne comme fin ?
J’ai vu ce que je suis, ce que nous sommes tous. Mais ce monde n’est pas prêt. Tout serait détruit par tant d’amour comme incendie. Et les larmes coulent de mon souvenir. Enfant face à moi-même cherchant protection. Je comprends que ça doive s’exprimer par mon corps sans corruption. Je ne sais pas ! Mais je ressens amour Amour. Je le comprends l’autre qui aimait niaisement (je le croyais) et en est mort par ceux là. Je t’aime semble vain. Bien sur que je t’aime. Moi et mon égo énorme tous les deux mais mortels. Comment faire comprendre que j’aime ?