J’ai rencontré une fille
Une petite fille pour moi jolie comme mon émoi
J’aurai du juste l’admirer au lieu de la toucher
J’ai préféré me coucher contre son corps amusé
Une plaisante danse lutte volutes
Et ses mots qui savent sonner
Derrière ses yeux étonnés
Rires
Joie
Plaisirs
Toi
Puis s’en va
samedi 30 octobre 2010
jeudi 28 octobre 2010
Ecrire c'est comme pleurer. Les mots coulent comme des larmes et me soulage un peu plus à mesure qu'ils s'échappent. A la fin je suis vide de ce que je voulais dire, extenué. On pourrait aussi dire que c'est un peu de vie qui devient écriture jusqu'à la mort. J'aime cette idée de vie éternelle par les mots...
mardi 26 octobre 2010
Début. Quoi avant? Implique fin. Quand? Pourquoi de tout.
A tout cela beaucoup ont tenté d'apporter réponse et n'ont aboutis qu'à des croyances. Mais ceux-là sont parvenus à stimuler un doute suffisant pour justifier notre instinct de vie que par notre intelligence nous avons la possibilité de commuer en un but à notre vie. Et ce but, de par notre instinct de vie, ne peut qu'être une quête de vie meilleure où d'absolu, de perfection. Dans ce cas c'est l'ignorance qui crée nos tentatives de savoir, nos volontés de perfection.
Mais la naissance seule ne suffit pas. Il lui est nécessaire d'avoir sa mort. Sans mort nulle évolution, nul progrès, juste une vie primaire sans besoin de progresser pour survivre, sans ce stimulant de l'instinct de vie, et en définitive sans aboutissement à la réflexivité de notre espèce.
En fin de compte c'est toujours la même chose: la vie comme quête de liberté de mort, de perfection comme éternité.
A tout cela beaucoup ont tenté d'apporter réponse et n'ont aboutis qu'à des croyances. Mais ceux-là sont parvenus à stimuler un doute suffisant pour justifier notre instinct de vie que par notre intelligence nous avons la possibilité de commuer en un but à notre vie. Et ce but, de par notre instinct de vie, ne peut qu'être une quête de vie meilleure où d'absolu, de perfection. Dans ce cas c'est l'ignorance qui crée nos tentatives de savoir, nos volontés de perfection.
Mais la naissance seule ne suffit pas. Il lui est nécessaire d'avoir sa mort. Sans mort nulle évolution, nul progrès, juste une vie primaire sans besoin de progresser pour survivre, sans ce stimulant de l'instinct de vie, et en définitive sans aboutissement à la réflexivité de notre espèce.
En fin de compte c'est toujours la même chose: la vie comme quête de liberté de mort, de perfection comme éternité.
mardi 5 octobre 2010
Prononcer ces mots, les écrire où les taire à jamais. Quoi de perdu? Quelques impressions, émotions au mieux. A quoi bon les mots qui ne touchent pas. Autant de sons qu'aucune bouche ne prononcera qui n'effleureront tes lèvres. Ces formules magiques je les garde et les cache. Leur force reste intacte. A quoi bon communiquer quand tout est dit. Plus rien à inventer. Les mêmes choses à répéter en ce temps reproduit. J'abandonne le verbe par trop de vies rendu impuissant. J’exhibe mon âme à qui sais la voir. Qui? Personne! J'ai tout donné, il ne reste rien que vide, aride solitude de l'individu avide de ça qu'on ne prononce pas.
samedi 2 octobre 2010
vendredi 1 octobre 2010
Combat
Peut-être est-ce du à mon éducation classique associée à un tempérament particulier. J'affectionne la victoire comme tout le monde, mais je n'aime que les combats perdus d'avance. Bien entendu à chaque fois je perds, cependant quelle exaltation à livrer bataille, à se dépasser pour l'infime possibilité de vaincre. Tout donner de soi pour finir blessé, abattu. Seul contre la multitude, contre les lois. Défier tout ce qui est. Entendons nous: ce n'est pas le combat pour lui même qui m'attire. C'est la cause qu'il sert. Même lorsque celle ci va à l'encontre des règles, si elle a su toucher mon coeur je suis près à me donner. Certains blâment ce qu'ils qualifient de "sens du sacrifice". Pourtant il est mien jusque dans le prénom dont on m'a habillé.
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